Un séjour à Athènes où il y a quand même du monde, malgré la quasi absence des touristes asiatiques ou américains. Les cafés sont toujours remplis mais un peu moins de monde dans les rues Adrianou et Pandrossou, repères des boutiques à touristes. Nous séjournons à l'hôtel Amazon où les chambres étaient réservées et payées depuis janvier 2020. Du fait du Covid, il faut prendre rendez vous à heure fixe pour le petit déjeuner car la salle est assez petite et on amène le petit déjeuner sur commande (carte sur les tables). Toujours du monde au restaurant O tzitzikas kai o mermygas à 30 mètres de notre hôtel, où il faut réserver le soir. Je signale le glacier Coco's où la glace masticha/cannelle est à goûter.
La cathédrale métropole est maintenant toute propre et débarassée de ses échafaudages.
Nous décidons de retourner à l'Acropole où il y n'y a pas trop de monde, on peut admirer la vue sur Athènes et les monuments et constater les progrès dans les restaurations. L'entrée où on peut constater qu'il y a quand même du monde, malgré le mois d'octobre et l'absence des groupes d'américains et d'asiatiques
L'Erechteion
Le théâtre de Dyonisos, et derrière le musée de l'acropole avec sa buvette en terrasse; le temple d'Athena Nike
L'Olympeion, qui est lui aussi en réfection; la colline de
Philopappos; l'aéropage (attention, ça glisse); l'agora
Visite également au musée archéologique (en taxi 5 € pour aller de
notre hôtel au musée, inutile de s'en priver). Grâce au pass sanitaire
obligatoire il y a beaucoup moins de monde dans le musée et c'est très
agréabel. On n'avait jamais vu les salles aussi peu envahies;
malheureusement des salles sont fermées (cycladiques, égyptiennes) et
il y a un sens de visite obligatoire.
Nous avons été particulièrement intéressés par les stèles funéraires, dont certaines ont un relief incroyable et sont magnifiquement sculptées; les demandeurs devaient être fortunés.
