ATHENES en avril 2008

 (d'autres renseignements sur la page spéciale ATHENES)

Arrivée à l'heure à l'aéroport. Le taxi roule assez prudemment (pour un grec) et nous dépose tout près de notre hôtel. A un péage (2,70 euros pour aller au centre) il me fait signe et me dit de boucler ma ceinture car il aperçoit une voiture de police en train de verbaliser un conducteur ; eh oui on peut vous arrêter pour n'avoir pas mis sa ceinture, et le taxi me dit que ça coût 270 euros ! vous êtes prévenus. Quant à moi j'ai TOUJOURS ma ceinture bouclée, plutôt deux fois qu'une en Grece. L'hôtel Adonis est situé dans une rue piétonne (3 rue Kodrou) toute proche de Plaka et pas loin de la rue Ermou. Le taxi peut vous déposer tout près dans une petite rue, et il reste 200 mètres à faire à pied. L'hôtel est donc calme, petit déjeuner convenable, réceptionnistes aimables (un parle français) mais les chambres sont petites ainsi que la salle de bain. Ce n'est donc pas l'hôtel idéal mais c'est un bon choix pour son calme et sa proximité.

Nous avons de plus en plus de plaisir à nous promener dans Athènes. Cette année nous sommes retournés sur la colline de Philoppapos, qui offre une très belle vue sur l'acropole, sur le Pirée et toute la ville d'Athènes. En plus il y a de la verdure, n'hésitez pas à aller vous y promener.

Egalement une promenade à l' agora avec le temple d' Ephaistos ou Théséion et son musée que nous avons été voir pour la première fois.

Une petite photo de la fontaine de Lysicrate, située tout près de l'hôtel Adams.

J'aime bien me promener dans les deux rues commerçantes de Plaka comme tous les touristes et répondre en grec aux innombrables invitations à diner "je n'ai pas faim" ou " je n'ai pas d'argent" aux bijoutiers, ça les fait rigoler. A signaler des travaux importants à Monastiraki : la place est inaccessible et il y a donc beaucxoup de monde aux alentours.

Nous avons encore assisté au jeu de gendarmes et voleurs mené par les policiers en scooter et les vendeurs noirs de babioles qui passent leur temps à guetter l'arrivée de la police. Dès qu'il y a une alerte, hop on remballe tout dans un grand sac et on part en courant ; cette fois nous en avons vu se faire pincer ; dur métier que le leur ...

 

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